samedi 1er juillet 2023 à 10h
cercle de silence
Traverser les frontières n'est pas un crime. C'est parfois l'unique solution de survie, qui trop souvent conduit à la mort. La Méditerranée en témoigne de façon dramatique.
Le droit d'asile est un acquis fort de nos sociétés civilisées. Vouloir le bannir est une erreur, une faute. N'en déplaise à M. Carayon, ce droit nécessite des moyens pour sa mise en œuvre : les CADA (centre d'accueil pour demandeurs d'asile).
Notre cercle de silence de ce mois-ci soulignera notre volonté d'ancrer la France dans une histoire de dignité et de solidarité naturelle envers les réfugiés. Nous invitons chacun à y prendre place, ne serait-ce que quelques minutes, samedi 1er juillet entre 10 et 11h.
Source : message reçu le 24 juin 15h